Catégories : Femmes soumises SM camisole Selfbondage auto bondage
il y a 4 ans
Pendant le confinement, je ne peux pas voir mon copain. C’est un des marins du porte avion Charles-de-Gaulle. Il va bien mais il est en quarantaine pour raison de sécurité. Cela va faire deux mois que je ne l’ai pas vu et pour assouvir mes envies, je fais du selfbondage et des choses intimes sous la couette si vous voyez ce que je veux dire.
En bas de chez moi, il y a un centre de vacances qui est fermé, il est destiné à des ado en difficulté. Lorsque je suis sortie pour aller faire des courses de première nécessité, j’ai vu qu’il y avait un trou dans le grillage de la clôture. Des coquins avaient fait une découpe discrète pour sortir le soir de ce que j’appelle une mini prison pour jeunes. Aller le visiter me tenaillait, le côté « interdit » m’excitait bien plus que la simple curiosité.
Quand je me suis glissée à l’intérieur du camp à matin à 7 heures, je vibrais comme Philippe Esnos dans son livre « L’or des Incas : Entre rêve et malédiction ». Même si je savais les lieux vides à cause de la pandémie, marcher à pas de velours et avancer en me cachant me semblait une obligation. Beaucoup de salles étaient fermées à clé. J’ai pu voir à travers les vitres, le mur d’escalade, des tables de ping-pong et une partie de la salle de musculation avec tous ses instruments que j’aurai pu détourner de leur usage. Hélas, impossible d’y entrer.
Il n’y avait que les toilettes et les douches d’ouvertes. Je ne me voyais pas faire un selfbondage dans les toilettes, il ne me restait donc que les douches conjointes à la salle de musculation qui, hélas, ne fermaient pas à clé. Lors de mon exploration de ces lieux, où j’imaginais des garçons décidés à me faire mille tourments sexuels, j’ai commencé à m’imaginer attachée nue à même le sol. Je me suis allongée par terre et j’ai commencé à me caresser. En haut d’un mur, j’ai vu un gros trou bouché par de la laine de verre à côté des lavabos. Je les ai escaladés pour voir ce qu’il cachait. En poussant l’isolant, j’ai découvert la réserve à matériel. Il y avait les baudriers d’escalades et des tas de trucs de musculation.
Le passage était suffisant pour que je me glisse à l’intérieur. Etant ultra souple, je suis arrivée sans trop de difficulté à pénétrer dans cette réserve. Et là, au miracle, la porte donnant sur la salle de musculation était ouverte. Les appareils me faisaient de l’oeil et semblaient me crier « vient m’essayer ». J’en ai essayé plusieurs dont certains n’ont même pas bougé quand j’ai tiré sur les poignets.
Allongée sur un banc, servant à soulever des poids que je n’ai même pas pu bouger, je me suis vue attachée dans l’autre sens, (pieds côté tête) avec les jambes en l’air là où il y a les poids. Entravée là dessus avec les jambes ouvertes en V, je ne pourrai pas être plus offerte et sans possibilité de refuser quoi que ce soit. Mon sexe et mes fesses seraient comme en « libre service ». Ni une ni deux, je suis ressortie du camp pour aller chercher mes accessoires de selfbondage et mes sextoys. Mon coeur battait la chamade, mes tétons pointaient sous mon soutien-gorge et semblaient crier qu’ils voulaient des caresses.
Je fais toujours un ice-timer d’avance, un bloc de glace avec les clés des menottes liées entre elles par de la ficelle dont le laisse dépasser un long bout. Ce bout, je l’attache aux menottes ce qui me permet de récupérer les clés et me libérer quand je fais du selfbondage.
Un quart d’heure plus tard, je suis retournée dans le camp. J’ai escaladé les lavabos, j’ai poussé l’isolant pour à nouveau, traverser la réserve et rejoindre la salle de musculation. Par chance, l’appareil que j’avais choisi ne se voyait pas de l’extérieur, si un gardien faisait une visite, il ne me verrait pas. J’ai donc pu me mettre nue et commencer à installer les cordes pour attacher mes chevilles à la barre des altères. Je les ai fixées à l’extérieur des supports pour m’obliger à garder les jambes ouvertes en V. Sous le banc, j’ai posé mon ice-timer et les menottes et les deux sangle qui me maintiendraient allongée, bien offerte.
Après avoir attaché mes chevilles dans les bracelets, j’ai commencé à « m’équiper ». Comme sextoy, je me suis mis un plug anal qui vibre puis un gode vibrant. Ma culotte m’aiderait à garder le gros gode et maintiendrait le magic-wand massager puissance10 que j’ai achetée sur ABCplaisir.com . Je me suis freinée pour ne pas les allumer tout de suite.... J’ai passé une sangle sous le banc pour la rabattre sur mon bas ventre au dessus de la culotte en laissant dépasser le magic wand que j’ai allumé pour vérifier qu’il soit à la bonne place. Hummmm.
Là, il fallait que je me presse pour finir mon selfbondage car si je jouissais, je savais que je n’irai pas plus loin.
J’aurai du ! ! ! !
J’aurai du m’arrêter là !
J’ai donc mis le gode vibrant et le plug anal vibrant en route. Sans tarder, j’ai posé des pinces sur mes tétons puis la dernière sangle qui m’empêcherait de me pencher en avant. Je me suis mis un bâillon troué pour mieux respirer puis ma cagoule en cuir. J’étais déjà à deux doigts de jouir quand, sous le banc, j’ai refermé les menottes sous mes poignets.
J’ai eu aussitôt l’image de mon chéri dans les yeux. Il n’aime pas le BDSM, quel dommage. Il m’aurait attachée là pour me faire sauter par des gens que je ne verrai même pas. C’est un de mes fantasmes et je ne sais pas si j’aurai le courage de le vivre un jour en vrai. Dans mon imaginaire de détraquée, le mec qui me sautait me pinçait les tétons, chose que j’adore. J’allais jouir sans pudeur de ses coups de reins sauvages et sous ses doigts. Je voulais fuir et tirait inutilement sur mes entraves, en vain, j’étais condamnée à jouir malgré moi. J’avais beau résister, essayer de reculer l’échéance, je n’y arrivais pas. L’orgasme est arrivé même si je faisais « non » de la tête, en me crispant comme une folle.
J’ai joui en criant dans mon bâillon, cette jouissance était une des plus forte que je n’ai jamais eue. Les lieux interdits sont peut-être la cause de cet orgasme inédit qui m’a réellement faite hurler. Comme les sextoys sont restés insensibles à mes réelles suppliques, j’ai bien cru que j’allais mourir de plaisir. Dans ma cagoule, il devait faire 50 degrés, ma sueur se mélangeait à ma bave (désolée de l’image) et coulait sur mon cou. Et dans ma culotte et mes orifices cela ne s’arrêtait toujours pas !
Quand j’ai attrapé le ice-timer, je me suis traitée de malade et j’ai su que cela allait me paraître plus long que d’habitude, et pour cause, la glace n’avait même pas commencé à fondre.
Il m’a fallu un moment pour me calmer, reprendre mon self-contrôle et arrêter de tirer sur les entraves. Cette fois, j’allais devoir souffrir de trop de jouissances et peut-être perdre connaissance. J’ai la capacité de jouir plein de fois d’affilé, mais une petite pose entre deux orgasmes ne fait pas de mal. Là, cela n’a pas été possible, une autre vague de contractions pointaient déjà son nez. Dans mon imaginaire, un autre homme venait de me prendre, lui aussi s’amusait à me tordre les tétons. J’ai à nouveau joui et crié à me casser les cordes vocales.
Soudain, un autre homme me sodomisait, mon anus convulsait autour du plug qui a fini par s’échapper et, « en partant », m’arracher un troisième orgasme. Comblée par la puissance des jouissances mais littéralement épuisée, j’ai encore attrapé le ice-timer, hélas, il n’avait quasiment pas changé.
J’avais eu trois monstrueux orgasmes en un rien de temps, je m’attendait à en avoir d’autres moins forts à cause, ou grâce, au plug qui vibrait sur mes fesses et non plus à l’intérieur. Après avoir repris mon souffle, j’ai recommencé à imaginer des choses. Comme mes jouissances étaient moins puissantes, ce qui était presque dommage, je pouvais mieux les gérer. Pourquoi dommage ? Parce que quand on joui à perdre la raison, c’est quand même bonnnnnn.
Il m’a semblée entendre une voix d’homme. Pour me rassurer je me suis dit que c’était dans ma tête de détraquée, mais hélas, elle était bien réelle. Quand j’ai senti la ficelle de mon ice-timer bouger, j’ai failli m’étouffer tant ma gorge s’est serrée. J’entendais un homme me dire que c’était interdit à travers la cagoule, j’ai aussi entendu le mot « flics » puis plus rien. Sur le coup, j’ai cru qu’il était aller appeler la police. J’allais être mal de chez mal à devoir justifier ma présence dans le camp sans parler de l’amende ou pire du tribunal.
Quand j’ai senti mes tétons bouger, je me suis plus à espérer que l’inconnu me libère. Il n’a libéré que mes tétons sans précaution et m’a faite mal ! Et ce gros porc a commencé à tripoter mes seins. Malgré mes « non » de la tête, il a continué ses explorations en plongeant sa main dans ma culotte après avoir retiré le magic wand massager. Lorsque j’ai entendu « grosse salope » à travers la cagoule, je me suis vraiment affolée. Le mec avait compris que je m’amusais seule. Je m’étais livrée à un inconnu de la pire des manières. Et là, c’était soudainement moins amusant que dans mes fantasmes ! ! !
Monsieur s’est alors mis à me baiser avec le gode qui vibrait toujours. Avec les orgasmes que j’avais eu avant, le sextoy n’avait aucune difficulté à se glisser en moi. Il a repris le magic wand et s’est amusé à chercher mon clito avec la boule tout en labourant mon ventre offert. Le rustre s’autorisant à me tripoter s’y prenait bien.... et quand il a posé sa bouche sur mon bouton des plaisirs tout en me bourrant la chatte, j’ai su qu’il allait m’avoir. Ce mec savait jouer avec les femmes et comment les faire jouir. J’étais submergée de honte et en même temps, ce qu’il me faisait était grisant.
Mon corps a eu la capacité aberrante de jouir de ce qui, pour la généralité des gens et même moi en temps normal, est le plus effroyable de tous les plus dégradants supplices. Je n'étais qu'un sexe. Qu'une ouverture d'écluse. Qu'un barrage qui s'effondre.
Quand il a retiré le gode, mon corps était pris de convulsions orgasmiques sans même qu’il me touche. Ce sadique c’est alors amusé à embrasser mon clitoris, à lui donner de petits coups de langue, et à chaque fois, mon corps réagissait. Il s’est ensuite attaqué à mes seins innocents qu’il a titiller avec tendresse. Cet expert en caresses me rendait dingue malgré la situation.
Il m’a abandonnée un court instant puis s’est positionné entre mes jambes. Son sexe a touché le mien comme pour jouer à taper à la porte. Je l’ai entendu de demander « oui ou non ». Il n’arrêtait pas de taper à la porte de mon sexe et de me dire « oui ou non ». Au bout d’un moment j’ai compris qu’il n’était pas un v i o l e u r et me demandait mon accord.
Mon corps criait « oui », ma morale disait « non ».
Et là il a crié : « si tu ne fais pas non avec ta tête, je te baise ».
Je n’ai pas réagis. Ce fut comme si j’avais oublié le sentiment de pudeur, fascinée bien plus qu'épouvantée par le sort qu'il me réservait mais désireuse de n'en rien montrer. Lentement, comme s’il s’attendait à ce que je fasse « non » de la tête et me débatte, il s’est enfoncé en moi. Il ne m’a pas baisée comme une sauvage, il ne s’est pas servi de mon corps comme celui d’une catin, il m’a fait l’amour. Il me caressait les seins, les épaules avec douceur en même temps que ses pénétrations lentes et profondes.
Quand il s’est retiré, j’étais presque déçue, j’ai honte de l’avouer. C’était pour mieux revenir à la charge et m’achever. Il a mouillé mon anus avec mes sécrétions vaginales et, toujours avec la même douceur m’a sodomisée. J’aime bien la sodomie quand elle est pratiquée avec Art et sagesse au début, c’est ce qu’il faisait en véritable gentlemen’s. Au moment où il a posé sa main sur ma gorge comme pour m’étrangler, j’ai pris peur. La seconde d’après j’ai été rassurée, le magic wand venait aussi de se poser sur mon clitoris.
Ce sadique entrait dans tous mes fantasmes comme s’il me connaissait, comme s’il avait une boule de cristal. Il serrait ma gorge juste assez pour que cela soit bon en accélérant ses mouvement dans mes fesses. En conjuguant magic wand, étranglement et sa sodomie devenant plus sauvage, il m’a faite jouir plusieurs fois et me rendait folle.
L’inconnu a joui à son tour, puis m’a câlinée avant de se retirer avec douceur, et non pas comme un rustre quittant le champ de bataille. Il m’a couverte avec sa veste, puis m’a laissée souffler un moment. Toujours avec douceur, il a détaché mes jambes et les a accompagnées sur le bord du banc avant de me retirer ma culotte qu’il a gardé en souvenir.
Le ice-timer avait libéré les clés de menottes. C’est lui qui les a ouvertes pour me libérer et me prendre dans ses bras pour un câlin. Quand j’ai voulu enlever ma cagoule il m’a crié « non garde la ». Il l’a juste desserrée pour pouvoir me parler sans crier.
- Gardons en mémoire pour l’instant le côté mystérieux de cette rencontre particulière. Je vais repartir et te laisser te rhabiller et ressortir comme tu es entrée. J’ai mis un préservatif, tu peux dormir tranquille. Je ne vais pas appeler la police pour tentative de cambriolage ni pour l’effraction. Je te propose quelque chose qui devrait titiller la soumise qui est en toi. Si tu es d’accord, bien sûr, je te donne rendez-vous ici demain à 10 heures. Tu te mettras nue et t’attacheras avec ta cagoule sur l’instrument de ton choix pour t’amuser comme tu en as envie. Je veux tout connaître de toi, je veux aller aussi loin que toi pour que nous portions ensemble tes fantasmes avec f o r c e et tendresse. Tu peux aussi ne pas revenir et passer à côté de beaucoup de choses avec un Maître expérimenté. J’ai envie de te faire découvrir beaucoup de choses, tu es la seule à décider. Si tu reviens c’est pour t’offrir à moi et t’ouvrir d’autres portes aussi agréables que celles d’aujourd’hui.
Après cette proposition, dites avec beaucoup de calme, il a repris sa veste et ce fut le silence total. Je suis restée allongée un moment, j’avais peur de voir son regard, qu’il lise ma honte d’avoir envie de lui dire que j’avais envie de revenir.
Comment avait-il su que j’étais d’accord pour me faire prendre ?
Comment faisait-il pour connaître les fantasmes ?
Je n’arrêtais pas de me poser des questions qui restaient sans réponse.
Après m’être rhabillée, j’ai récupéré mes affaires et je me suis presque enfuie de ce lieu de perdition. Voilà le récit de cette aventure où, finalement, j’aurai pu y laisser la vie.
Fin du récit de cette première aventure.
Là, nous sommes le lendemain, il est 8 heures, j’hésite, j’ai une trouille monstre. Je suis partagée entre l’idée de prendre une deuxième douche, mais froide cette fois, et d’y retourner.
Vous feriez quoi vous ?
......................
Si vous répondez à cette question dans les commentaires ou mettez quelques « j’aime » (un simple clic) à cette histoire érotique, je vous raconterai la suite demain.
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